Rien de plus décourageant, et de plus décevant que d’avoir l’impression de se priver, de faire tous les efforts du monde, et de ne constater aucun changement effectif sur sa balance. Pire encore… La déception qui nous envahit lorsque l’on décide de passer l’épreuve du « jean-témoin »… Dans lequel on peine toujours à rentrer…
Pourtant, avant de vouloir mincir, vous êtes-vous posé les bonnes questions ? Et une des interrogations primordiales est : d’où provient la prise de poids ? Si vous n’agissez pas sur les bonnes causes, si vous ne sollicitez pas les bons leviers, vous ne pouvez espérer obtenir de résultats favorables, c’est mathématique !
Quelles sont les bonnes questions à se poser lorsque l’on souhaite perdre du poids ?
Avez-vous toujours eu quelques kilos en trop ou s’agit-il d’une prise de poids soudaine ? S’agit-il de rondeurs localisées à des endroits précis ou d’une morphologie ronde de façon globale ? Etes-vous plutôt jeune (non mais pour de vrai ;), ou plus âgé ? Si vous êtes une femme, êtes-vous ménopausée ? Si vous êtes un homme, souffrez-vous de gynécomastie ? Comment mangez-vous ? Êtes-vous plutôt « fait maison ou plats industriels » ? Etes-vous plutôt repas riches en graisses ? En viande ? En légumes ? En féculents ? Ensuite, avez-vous exploré les pistes hormonales ? Du côté de la thyroïde, tout est-il en ordre ? Faites-vous de la rétention d’eau ? Allez-vous correctement à la selle ? Êtes-vous stressé ? Faites-vous du sport ?…. Sont autant d’interrogations dont vous devez connaître la réponse avant d’entamer un régime. Egalement, analyser votre comportement alimentaire est aussi un indicatif précieux : Mangez-vous plutôt en grandes ou petites quantités ? Grignotez-vous entre les repas ?
Ces questions sont d’une importance capitale pour vous permettre de mieux cibler la source du problème. Si vous effectuez un régime hypocalorique alors que vous souffrez en fait d’un déséquilibre hormonal, vous ne mincirez pas… et ainsi de suite, pour chaque problématique posée ! Les exemples sont multipliables à foison et trop nombreuses sont les personnes qui ne parviennent pas à venir à bout de leurs kilos superflus parce qu’elles n’agissent pas sur les causes réelles de prise de poids….
Une fois les questions hormonales, de stress ou de passage à vide réglées, entamer une diète hypocalorique nécessite de se prémunir des règles de base : La première étant qu’il n’y a malheureusement pas de secret, pas de recette miracle, sans un petit effort de votre part. Cet effort consiste à manger équilibré, dans des quantités raisonnables, et trouver votre propre « balance bien-être », sans que cela ne vous coûte émotionnellement ou physiquement. Bien sûr, cela ne se fera pas en un jour ! Manger équilibrer, c’est trouver le juste milieu, sans être dans l’excès, ni non plus dans la restriction à outrance qui créera la frustration… de laquelle il ne ressort jamais rien de bon !
Vous pouvez, bien évidemment avoir recours à des suppléments alimentaires pour vous aider dans votre quête minceur, mais là aussi, encore faut-il choisir les bons !… Pour les mêmes raisons ! Le choix du complément amincissant est aussi essentiel pour obtenir des résultats ! Nous entendons souvent dire « j’ai pris un complément une fois mais ça n’a pas marché »… Maaais savez-vous que tous les compléments amincissants ne conviennent pas à tous le monde ? « Substituts de repas, coupe-faim, brûleurs de graisse, capteurs de graisse, bloqueurs d’amidon »…. Chacun doit trouver le plus adapté à sa morphologie, à son alimentation, à sa façon de mincir !
Comment choisir son aide-minceur appropriée avant l’arrivée des beaux jours ?
Vous décidez de perdre du poids, vous effectuez un régime, vous n’êtes pas très ami avec le sport, et avez pris pour partenaire, dans votre combat anti-kilos, un complément alimentaire brûleur de graisses : et bien celui-ci ne vous aidera sûrement pas ! Pourquoi ? Tout bonnement parce que les brûleurs de graisses sont réellement actifs lorsque vous êtes dans l’effort physique. Ils vont augmenter la thermogénèse et la dépense calorique. En pratiquant une activité physique, vous accentuez ce phénomène, et donc, l’application d’un brûleur. Mais sans cela… Point de salut à votre perte de poids l
Il en va de même pour les coupe-faim… Si vous ne mangez pas entre les repas et que vous consommez de petites quantités, mais que vos repas sont composés d’aliments riches en graisses saturées et en sucre… Un coupe-faim, excepté pour limiter les quantités et réduire l’appétit, ne vous sera pas d’une grande aide…. Adeptes des plaisirs sucrés, des plats industriels, des aliments gras… le complément dans votre viseur doit être le capteur de graisses. Les capteurs de graisses permettent d’éviter le stockage des gras. Dès leur ingestion, les graisses saturées sont « attrapées, absorbées, captées » avant qu’elles n’aient pu atteindre leur « entrepôt de stockage ». Puis elles sont transformées et acheminées pour être évacuées par voie naturelle.
Vous ne pouvez pas vous passer de pain pour accompagner chacun de vos repas, vous avez la sensation que seuls les féculents peuvent « caler votre faim » ? Vous avez tendance à consommer beaucoup de féculents, de produits à base de farines blanches (pain, pâtes, riz, tartes salées, pizzas)… votre complément fétiche est le bloqueur d’amidon ! Appelé également inhibiteur d’alpha-amylase, son action aidera à empêcher l’activité de cette enzyme fabriquée par le pancréas et responsable de la conversion en sucre des hydrates de carbone, notamment contenus dans les féculents. Les inhibiteurs d’alpha-amylase empêchent la transformation de ces sucres lents en gras. Le sucre sera alors utilisé à des fins énergétiques et non stocké en graisses.
Vous ne mangez pas gras, mais vous mangez à des heures improbables ou en horaires totalement décalées… sans graisses à capter, les capteurs de graisses ne sont pas les plus appropriés… Amoureux des grignotages compulsifs, des fringales sucrées ou salées… Optez pour les coupe-faim ! Parmi eux, vous aurez encore à choisir entre les coupe faim dits « mécaniques », qui apporteront concrètement, « mécaniquement », physiquement, un sentiment de satiété, de rassasiement puis ceux dits « émotionnels » qui agirons sur le taux de sérotonine et sur le sentiment de réconfort sans besoin compulsif de manger pour autant. Augmentant le taux de cette molécule appelée aussi hormone du bonheur et de la bonne humeur, ils vont contribuer à supprimer cette envie irrépressible de compenser quelque chose par la nourriture. Il en va de même pour les fumeurs qui grignotent pour atténuer le manque. Puis il existe des coupe-faim dits « cellulaires », jouant un rôle de modérateur d’appétit, mais également de destockeur de graisses. Les coupe-faim cellulaires agissent au niveau des cellules graisseuses. Ces amas adipeux sont responsable de la production de l’hormone de satiété « leptine », ainsi que de l’hormone de faim appelée « adiponectine ». Toutes deux interviennent dans la régulation de l’appétit.