Seul représentant du corps à posséder une extraordinaire capacité d’auto-régénération, cet organe fascinant a néanmoins ses failles… Et celles-ci se trouvent probablement dans sa discrétion… ! Portant le surnom éloquent d’« organe silencieux », notre foie ne crie « au secours » que lorsque 90% de ses fonctions sont épuisées. D’ordinaire, quand un mal nous fait souffrir, nous consultons, parce que nous savons que quelque chose ne va pas. Notre corps s’exprime. Ce n’est malheureusement pas le cas du foie. En plus de ne pas être la partie du corps que l’on penserait spontanément à ménager ! Et pourtant…
Durant des années, la croyance collective et les préjugés qui lui étaient associés, voulaient que la stéatose hépatique, la cirrhose du foie, ainsi que les autres maladies graves liées à cet organe, ne touchent que les personnes considérées comme alcooliques chroniques. Mais les recherches scientifiques ont rapidement mis fin à ce postulat. Il n’est en aucune façon nécessaire d’être alcoolique pour développer une cirrhose ou une fibrose du foie. Outre les pathologies de type diabète ou syndrome métabolique, l’accumulation des graisses au niveau du foie peut tout autant être l’apanage d’un déséquilibre dans votre mode de vie. Une alimentation riche en graisses saturées et en sucre est aussi dangereuse qu’un penchant avéré pour la boisson !
Que se passe-t-il exactement ? Lorsque les dépôts graisseux s’accumulent dans les cellules hépatiques, la taille du foie augmente. Les cellules hépatiques engorgées par les graisses ne peuvent alors exercer leur fonction. Elles meurent progressivement et tout aussi silencieusement qu’elles auront vécu. Les tissus fibrotiques non-opérants s’accumulent, prenant la place des cellules saines…
Quels signes peuvent vous alerter avant que votre corps ne le fasse trop tard : Un teint jaunâtre, le blanc de l’œil dans les mêmes couleurs, une sensation de fatigue constante, une douleur sous les côtes, du côté droit de l’abdomen, ainsi que la perte d’appétit.
Les meilleures options ? La première est de modifier vos habitudes alimentaires en veillant à éviter les gras saturés, le sucre et l’alcool. Dans un second temps, il s’agira de perdre du poids, afin de désengorger le foie des graisses qui l’étouffent.
Ce qui peut vous aider ? Une bonne dose de volonté, mais aussi la pratique d’exercices physiques réguliers, ainsi que certains aliments, tels que l’artichaut, le jus de betterave ou le konjac, disponibles également sous forme de compléments alimentaires naturels. Bien connu pour ses bénéfices amincissants et son soutien dans le contrôle du poids, le Konjac représente une source de bienfaits non-négligeables lors d’une diète hypocalorique, mais aussi un ingrédient particulièrement intéressant en cas d’accumulation excessive de graisse dans le foie :
Les propriétés du Konjac permettent de limiter l’appétit mais aussi les fringales.
Résultats ?
1/ L’estomac est rempli par les fibres du konjac, qui vous donnent la sensation d’être rassasié très vite. Vous mangez moins en quantité.
2/ Grâce à son efficacité coupe-faim, le konjac diminue la sensation de faim insupportable en phase de régime qui se révèle bien souvent une des causes principales d’abandon de votre quête de perte de poids. Repu, vous n’êtes pas pris de fringales : vous évitez les grignotages compulsifs.
Le Konjac est également un atout très intéressant par ses propriétés de capteur et piégeur de graisses et sucres alimentaires, qui sont ensuite évacués par voie naturelle. Vous éliminez naturellement les mauvaises graisses et ne les laissez plus s’entasser, ni dans votre corps, ni dans votre foie.
La diminution de consommation de graisses et l’élimination des gras entrant, va inévitablement inciter l’organisme à puiser l’énergie dont le corps a besoin dans les cellules graisseuses de réserve… L’amincissement à la clé est mathématique, et il en va de même pour l’endiguement du processus d’accumulation des graisses dans le foie.